L’EUR Translitterae dirigé par Isabelle Kalinowski et Franziska Humphreys, de l’École Normale Supérieure de Paris, annonce la création d’un nouvel atelier de traduction philosophique, ouvert à tous, dont les cinq premières séances se dérouleront ce printemps en visioconférence.
Convaincue que la traduction littéraire est un formidable outil de réflexion, d’émancipation et de dialogue et que la pluralité des langues et des cultures, loin d’être un obstacle à l’intégration, est une richesse, l’association ATLAS a imaginé Quai des langues en réponse à un appel à projets lancé en mars dernier par la Direction générale des étrangers en France du ministère de l’Intérieur.
Malgré le couvre-feu annoncé par le gouvernement à compter de samedi 24 octobre, les 37es Assises de la traduction littéraire à Arles sont maintenues à l’exception de quelques événements. En savoir plus.
Xavier Luffin est distingué cette année par le jury du Grand Prix de traduction de la Ville d’Arles pour sa remarquable traduction de l’arabe du Soudan du roman Les Jango d’Abdelaziz Baraka Sakin. Il recevra son prix, vendredi 6 novembre à la Chapelle du Méjan à l’occasion des 37es Assises de la traduction littéraire à Arles.
À 87 ans Pierre Gallissaires vient de nous quitter, le 10 août. Il a peut être rejoint son ami Adam Wodnicki pour une longue conversation dans les étoiles. Pierre est venu 12 fois en résidence au CITL, très souvent avec son ami Jan Mysjkin avec qui il formait « le plus vieux couple du CITL »…
Convaincue que la traduction littéraire est un formidable outil de réflexion, d’émancipation et de dialogue et que la pluralité des langues et des cultures, loin d’être un obstacle à l’intégration, est une richesse, l’association ATLAS a imaginé Quai des langues en réponse à un appel à projets lancé en mars dernier par la Direction générale des étrangers en France du ministère de l’Intérieur.
Créé en 1995 sous le nom de Prix Amédée Pichot, le Grand Prix de Traduction de la Ville d’Arles récompense chaque année la traduction d’une oeuvre de fiction, remarquable par sa qualité et les difficultés qu’elle a su surmonter. Sa dotation est portée cette année à 5 000 € et il sera remis le vendredi 6 novembre, jour d’ouverture des 37es Assises de la traduction littéraire, à Arles. Le jury, composé de traducteurs littéraires et d’écrivains, dévoile sa sélection avec six traducteurs en lice.
Adam Wodnicki, né le 25 décembre 1930 à Janow Lubelski, dans la voïvodie de Lublin en Pologne, est mort le 9 juin 2020 à Cracovie. Traducteur de Saint-John Perse, Yves Bonnefoy, Julien Gracq, Amadou Lamine Sall, Simone Weil et Edmond Jabès, il était amoureux de la Provence et du Collège des traducteurs. En 2019, il effectuait son 18e séjour, espérant nous retrouver l’année suivante, comme chaque année depuis 1994. C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons appris sa mort mercredi 10 juin et nous avons voulu lui rendre hommage avec le concours de nombreux traducteurs amis.