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Les participants à l’atelier de russe du Printemps de la Traduction 2015 remettent leur copie…

Les participants à l’atelier de russe du Printemps de la Traduction 2015 remettent leur copie…

24 novembre 2015 ATLAS, Coup de projecteur sur..., Printemps de la Traduction, Traduction, Traduction littéraire

Lors du Printemps de la Traduction 2015 (12-13-14 juin), plusieurs ateliers de traduction étaient proposés au public et parmi ceux-ci un atelier d’initiation tout public de russe. L’intérêt pour l’exercice et pour le texte d’Andreï Kourkov écrit spécialement pour l’occasion, où l’écrivain évoque ses rapports avec ses traducteurs, fut grand puisque les participants se sont retrouvés pour une seconde séance à l’automne. Avant de découvrir leur traduction en regard du texte original, voici l’atmosphère de cette rencontre décrite en quelques mots par Paul Lequesne qui animait l’atelier :

“Le samedi 31 octobre 2015, les membres de l’atelier de russe du Printemps de la Traduction se sont réunis une seconde fois dans un appartement de la rue Laghouat donnant sur un fort beau jardin, ce jour-là ensoleillé, dans l’espoir d’achever leur traduction d’un texte spécialement écrit pour l’occasion par Andreï Kourkov.
Soutenus dans leurs efforts par les arômes d’un thé excellent et les saveurs d’un roboratif gâteau d’amandes et citrons, ils n’ont pas mis deux heures pour venir à bout de leur tâche.
Voici le résultat de cette collaboration, par eux soigneusement relu et corrigé.“

De la traduction

Un écrivain, c’est une personne qui aime communiquer, beaucoup discuter, beaucoup écouter et regarder, partout laisser trainer ses yeux et ses oreilles, et au bout du compte inventer des histoires. Les histoires, ce sont des images écrites avec des mots, tout comme les films sont des histoires « écrites » avec des images. Parfois l’écrivain se trouve soudain à court de mots et se prend à en inventer également. Bon, bien sûr, il arrive aussi qu’il imagine des mots nouveaux par facétie, pour déconcerter et épater le lecteur. Quant à moi c’est dans un autre but que je crée parfois des mots nouveaux et les nouvelles formes grammaticales ad hoc : les mots et concepts existants, les expressions et idiotismes à ma disposition ne me suffisent pas pour raconter mon histoire de manière aussi complète et pittoresque que je le veux. À l’époque où j’écrivais un court roman (ou grosse nouvelle) intitulé La Chanson préférée d’un cosmopolite, j’adorais la légèreté du récit, la facilité de narration auxquelles je parvenais. Tantôt je penchais vers Tchékhov, tantôt vers Hemingway. À Tchékhov, mon roman-nouvelle a emprunté des visions fugitives, des images : une dame au petit au chien, une datcha avec terrasse au-dessus de la mer et soleil crépusculaire disparaissant à l’horizon, à Hemingway, son héros déserteur qui déteste la guerre. À la fin, la petite ville, évoquant Yalta, peuplée de héros de différentes nations récompensés de leurs exploits militaires par un séjour en ce lieu de bord de mer, se soulève pour déclarer son indépendance vis à vis de tous les pays et armées qui l’entourent, et quand mon héros, arrivé là par hasard, prend conscience que ce soulèvement — « pour l’indépendance » — est voué à l’échec, il se cache dans une cave à vin, au milieu des tonneaux. Pendant que la fusillade fait rage au-dessus de sa tête, il boit du vin dans ses mains en coupe — il n’a pas trouvé de verre dans cette cave. Il boit du vin et s’adresse à lui-même un toast : « À la dépendance ! » Il le prononce avec un sentiment de désespoir et de fatalité. Parce qu’il a compris qu’il n’y aura pas d’indépendance ! Mais mon excellente traductrice londonienne pensa avoir trouvé là une erreur ou une coquille dans mon texte. Elle avait une bonne connaissance du russe, mais elle n’imaginait pas le degré de familiarité que l’écrivain se permet parfois avec la langue. C’est ainsi qu’après avoir lu plusieurs fois cet épisode, elle finit par conclure que j’avais voulu écrire en réalité « À l’indépendance ! » Parce que habituellement on ne boit pas à la dépendance ! C’était il y a bien longtemps, en 1992. Je vivais à Kiev, elle travaillait à Londres. Les citoyens ordinaires, écrivains et traducteurs compris, n’avaient pas encore d’ordinateur chez eux. L’unique moyen de se contacter rapidement était le téléphone, mais les appels internationaux coûtaient affreusement cher. Ce texte parut dans sa traduction anglaise dans la revue Index on Censorship, et à ce jour n’a pas été réédité.
Curieusement, c’est encore en Grande-Bretagne que, une seconde fois, j’ai rencontré des problèmes sérieux avec la traduction de mes livres. Mon autre traducteur qui aimait à répéter que « le lecteur anglais est un peu bête et qu’il faut simplifier le texte pour lui, lors de la traduction, en éliminant tout ce qui est compliqué ou incompréhensible sans explication ou note de bas de page », avait tellement « simplifié » mon roman en le traduisant qu’il n’y avait plus aucun lien logique entre certains événements importants de l’intrigue. Au point qu’un critique en était venu à estimer que j’avais écrit ce livre à titre expérimental. J’avais moi aussi une part de responsabilité dans l’affaire cette fois-là, car à maintes reprises j’avais dit au traducteur que je lui faisais confiance. Comme j’étais le plus souvent d’accord avec ses propositions, il ne me demandait plus mon avis sur les autres modifications qu’il décidait d’apporter au texte dans sa version anglaise. Néanmoins je garde de ce traducteur un souvenir reconnaissant, car il voulait avoir un échange, il voulait débattre avec moi des points litigieux du texte. C’est bien pire quand le traducteur n’ose pas ou, pour une raison ou pour une autre, ne veut pas communiquer avec l’auteur pendant qu’il traduit son œuvre. Car, outre le fait qu’il est seul en mesure d’expliquer les mots ou les nouvelles formes de mots et d’expressions qu’il a inventés, l’auteur peut aider le traducteur à traduire le texte d’une culture dans une autre, autrement dit peut lui expliquer les réalités et les concepts présents dans son propre pays, mais absents du pays de la langue dans laquelle l’œuvre est traduite. Je regrette de ne toujours pas connaître les deux bonnes dizaines de traducteurs vivant dans des contrées proches ou lointaines qui traduisent mes romans dans leurs langues maternelles.

Andreï Kourkov

Traduit par Véronique Charlet et Jacques Duvernet

О переводе.

Писатель – это человек, которому нравится общаться, много разговаривать, много слушать и подслушивать, смотреть и подсматривать и, в конце концов придумывать истории. Истории – это картинки, написанные словами, также, как фильмы – это истории, «написанные» картинками. Иногда писателю вдруг не хватает слов и он начинает их тоже придумывать. Нет, конечно, бывает, что писатель придумывает новые слова из озорства, чтобы озадачить и удивить читателя. Я придумывал слова и новые грамматические формы новых слов с другой целью – мне не хватало существующих слов и понятий, словосочетаний и фразеологизмов для того, чтобы более полно и красочно рассказать новую историю. Когда я писал маленький роман (или большую повесть) «Любимая песня космополита», я наслаждался легкостью получающегося нарратива, рассказывания. Меня то клонило «в Чехова», то в «Хэмингуэя». От Чехова в роман-повесть попали мимолетные видения, образы – дама с собачкой, вилла (дача) над морем с террасой и заходящим за темнеющий горизонт солнцем, от Хэмингуэя – герой-дезертир, ненавидящий войну. И вот в финале, когда городок, похожий на Ялту, где отдыхали герои разных армий, совершившие подвиги и награжденные этим отдыхом на берегу моря, поднял восстание, чтобы объявить свою независимость от всех окружающих стран и армий, и когда моему герою, попавшему туда случайно, стало понятно, что восстание это – «за независимость» – обречено на провал, он спрятался в винном погребе среди бочек с вином. Пока над его головой звучала стрельба, он пил вино из сложенных лодочкой ладоней – в погребе не было стакана. Он пил вино и сам себе произносил тост: «За зависимость!» Произносил его с чувством безысходности и фатализма. Потому что понял, что независимости не будет! Но моя замечательная переводчица в Лондоне решила, что нашла в моем тексте ошибку-опечатку. Русский язык она знала неплохо, но не думала о той степени обращения с языком, которая может возникнуть у писателя. И вот она, перечитав этот эпизод несколько раз, решила все-таки, что я хотел написать «За независимость!». Потому, что обычно «за зависимость» не пьют! Дело было в далеком 1992-м году. Я жил в Киеве, она работала в Лондоне. Компьютеры еще не пришли в дома обычных граждан, включая писателей и переводчиков. Единственной возможность быстрого контакта был телефон, но международные звонки стоили страшно дорого. Этот текст был издан в переводе на английский в журнале «Index on Censorship» и больше до сегодняшнего дня не переиздавался.
Странно, что второй случай серьезных проблем, связанных с переводом моих книг, тоже имел место в Великобритании. Мой другой переводчик, любивший повторять, что «английский читатель – глуповат и текст при переводе надо для него упрощать, выбрасывая все сложное и не понятное без объяснений или сносок внизу страницы» так «упростил» мой роман при переводе, что между некоторыми важными событиями в романе исчезла логическая связь. Один из критиков в результате даже посчитал, что этот роман я написал в качестве эксперимента. Виноват в этой второй истории был и я, так как несколько раз сказал переводчику, что я ему доверяю. То есть несколько раз я согласился с его предложениями, после чего он уже меня не спрашивал о других изменениях, которые решал внести в текст при его переводе на английский. Но я все равно вспоминаю этого переводчика с благодарностью, ведь он хотел общаться, хотел со мной обсуждать спорные вопросы. Куда хуже, когда переводчик стесняется или по иной причине не хочет общаться с автором во время перевода его произведения. Ведь кроме того, что только автор может объяснить придуманные им слова или новые формы слов и словосочетаний, автор может помочь переводчику переводить текст с культуры на культуру, то есть может объяснить переводчику те явления и понятия, которые существуют в стране автора, но отсутствуют в стране языка, на который переводится произведение. Мне жаль, что я до сих пор не знаком с добрыми двумя десятками своих переводчиков, живущих в далеких и близких странах и переводящих мои романы на свои родные языки.

Андрей Курков

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