
Les traducteurs-coordinateurs de l’atelier :


Les participants sélectionnés pour l’atelier :

Mateo Pierre Avit Ferrero a suivi ses études en Traduction et Interprétation (diplôme) et en Évaluation et Gestion du Patrimoine Culturel (maîtrise) à l’Université de Salamanque. Il a été lauréat du Prix Complutense de Traduction Universitaire « Valentín García Yebra » pour un recueil de textes de Marcel Schwob. Il traduit des revues pour enfants et des livres du français, allemand et anglais vers l’espagnol. Membre d’ACE Traductores, il a fait partie de son comité directeur entre 2020 et 2022, et actuellement représente l’association auprès d’alitral (Alliance Latino-américaine pour la Promotion de la Traduction Littéraire). Il a participé à l’Atelier ViceVersa espagnol-français en 2020.
Projet de traduction : La Reine des poissons, conte de Gérard de Nerval (1852)
Melina Balcázar est maîtresse de conférences à El Colegio de México. Docteure en Littérature française de l’Université Sorbonne Nouvelle. Elle est l’auteure de Travailler pour les morts. Politiques de la mémoire dans l’œuvre de Jean Genet (2010) et Aquí no mueren los muertos. Duelo y fotografía en México (2020). Elle collabore avec le supplément culturel Laberinto du journal mexicain Milenio, notamment avec des entretiens consacrés aux figures littéraires et intellectuelles françaises et francophones. Elle écrit aussi pour les revues En attendant Nadeau et Europe, pour laquelle elle a dirigé notamment les numéros consacrés à Roberto Bolaño, Jean Genet et prochainement Juan Rulfo. Elle a traduit de l’espagnol (Mexique) des œuvres de Pascal Quignard, Claude Simon, Georges Didi-Huberman, Félix Nadar, Pierre Ducrozet, Pierre Klossowski, Olivier Rolin, Yves Pagès.
Projet de traduction : Une chose sérieuse, roman de Gaëlle Obiégly (Verticales, 2019)
Guillaume Contré (Angers, France, 1979) Écrivain, traducteur de l’espagnol et de l’anglais, critique littéraire. Collabore au Matricule des anges depuis 2014, à la revue L’autoroute de sable et à diverses revues en ligne. A publié en espagnol le court roman Sensatez [Pre-Textos, 2019], auto-traduit en français sous le titre Discernement [Éditions Louise Bottu, 2018] et publiera prochainement le roman Palacio mental [Pre-textos, octobre 2022] ou Palais mental [Éditions MF, janvier 2023]. A traduit, entre autres, les écrivains Pablo Katchadjian, Ricardo Colautti, Eduardo Muslip, Ariadna Castellarnau, Angélica Gorodischer, Max Aub, Gabriela Cabezón Cámara, Preti Taneja, Juan L. Ortiz, Juan Luis Martínez et Antonio Soler.
Projet de traduction : Prodigios, roman d’Angélica Gorodischer (Lumen, 1994)
Née il y a quelques années déjà dans une île dont elle ne veut pas se rappeler le nom, Isabelle Dessommes a humblement servi la littérature de diverses façons : elle a pratiqué brièvement la traduction littéraire chez quelques éditeurs, avant de devenir, l’occasion faisant le larron, lectrice-correctrice à la Pléiade, où elle s’est régalée à réviser de beaux textes de littérature, entre autres espagnole, et leur apparat critique : Théâtre de Lorca, Théâtre espagnol du XVIIe siècle, Anthologie bilingue de la poésie espagnole… Elle a suivi (Aleph, Oulipo) et animé (université d’Angers) des ateliers d’écriture et de traduction littéraire.Elle renoue aujourd’hui avec sa passion première, la traduction littéraire, et crée sa (toute) petite maison d’édition, Arpents de Sud.
Projet de traduction : El afinador de habitaciones, de Celso Castro (Libros del Silencio, 2010)
Née à Paris en 1980, Hélène H. Melo a séjourné une dizaine d’années à l’étranger (Russie, Bolivie, Argentine et Portugal). Après des études universitaires de sciences humaines et de langues, elle se consacre professionnellement à la traduction littéraire, mais aussi audiovisuelle depuis 2013. Elle collabore avec plusieurs maisons d’édition en tant que lectrice. Elle traduit principalement des romans ibéro-américains, des textes de sciences humaines, ainsi que des bandes dessinées.
Projet de traduction : Malaventura, roman de Fernando Navarro (Impedimenta, 2021)
Louise Ibáñez-Drillières est doctorante en Études hispaniques et Cinéma, ancienne élève de l’ENS de Lyon et agrégée d’Espagnol. Membre de l’Atelier de Traduction Hispanique de l’ENS de Lyon depuis 2015, elle y a participé à la traduction collective du roman El Hijo de Gengis Khan d’Ednodio Quintero (dir. Philippe Dessommes, PUL, 2019), et à celle de l’anthologie poétique El verso que retoña. Antología de poesía carcelaria en el primer franquismo (dir. Aurore Ducellier, à paraître).
Sa traduction de l’essai politique Capitalismo gore (2010) de la philosophe et performeuse mexicaine Sayak Valencia paraîtra dans la collection « Sorcières » des éditions Cambourakis début 2023.
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Projet de traduction : Presencia, essai de Carlos Reygadas (AnDante, 2022)
Ámbar Michel de la Selva traduit du français vers l’espagnol. ElIe a étudié la philosophie à la Faculté de Philosophie et Lettres à l’Universidad Nacional Autónoma de México où elle a concentré ses études sur la phénoménologie, la métaphysique et l’ontologie. Elle est diplômée de la formation en traduction littéraire de l’Asociación Mexicana de Traductores Literarios. (Ametli). Elle aime les BD et apprend l’allemand.
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Projet de traduction : Terre rouge, pièce de théâtre d’Aristide Tarnagda (Lansman, 2017)
Silvia Moreno Parrado (Espagne, 1977) est traductrice du français, de l’anglais et du grec vers l’espagnol depuis l’obtention de son diplôme en traduction et interprétation (UMA, 1999) et a traité tous types de textes, jusqu’à se consacrer à la traduction littéraire en 2015. Dès lors, elle a traduit une quarantaine de livres et 9 autres sont en cours. Parmi ses auteur.e.s: Frédéric Lordon, Élodie Durand, Baptiste Morizot, Octavia Butler, H. D. Thoreau, R. W. Emerson, Rachel Carson, Sofia Nikolaïdou. Elle assure aussi des ateliers, donne à l’occasion des conférences et co-organise un programme de soirées sur la littérature traduite (« Tras las letras ») dans une librairie à Malaga. Entre traduction et traduction, elle s’engage à la création de poèmes, broderies et plantes comestibles.
Projet de traduction : Le Grand Jeu, roman de Céline Minard (Rivages, 2019)
Née à Buenos Aires en 1975, qu’elle a quitté encore bébé, Maïra Muchnik a une thèse en anthropologie, Le tango des Orixas. Les religions afro-brésiliennes à Buenos Aires (L’Harmattan, 2006). Elle mène aujourd’hui en parallèle ses activités d’éditrice de la revue d’anthropologie Gradhiva au musée du quai Branly, de rédactrice pour le magazine Books sur l’actualité éditoriale au Brésil et au Portugal, et de traductrice littéraire de l’espagnol et du portugais. Elle a fait partie de la promotion 2017-2018 de l’École de Traduction Littéraire au Centre National du Livre, et aime transmettre sa pratique de traduction en animant ateliers et séminaires, pour mieux creuser ce sillon-là, celui qui relie des mondes les uns aux autres, un désir qui n’est pas prêt de la quitter.
Projet de traduction : El rastro en los huesos, chronique de Leila Guerriero (Gatopardo, 2010)
Lauréate de plusieurs prix de traduction (accesit et premier prix de l’Université de Vigo (2014 et 2015), XIe Prix Francisco Ayala (2016), Marta Santamaría Domínguez (Madrid, 1981) a été toujours reliée au monde artistique : études de violon au Conservatoire supérieur de Badajoz et au Conservatoire royal de Bruxelles, diplôme en Traduction et Interprétation à l’Université de Vigo. Spécialement intéressée à la traduction de poésie, elle a traduit, parmi d’autres, une sélection de poèmes de Yves Bonnefoy et de Paul-Jean Toulet (Xerais, 2014 et 2015). En 2022, elle participe à l’atelier Transmettre le Québec et reçoit une bourse pour l’atelier Literature Ireland 2022 Summer Translation Workshop.
Projet de traduction : Geste, recueil de poésie de Michelle Grangaud (P.O.L, 1991)
Contact ATLAS
Ameline Habib – responsable pédagogique des formations
Email : ameline.habib@atlas-citl.org
Tél. : 04 90 52 05 50
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