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« Après Babel, traduire » : une navigation entre les langues pour les lycéens marseillais

« Après Babel, traduire » : une navigation entre les langues pour les lycéens marseillais

7 mars 2017 Ateliers de traduction, ATLAS, Coup de projecteur sur..., Traduction, Traduction littéraire, Vie de la traduction littéraire

Dans le cadre de l’exposition « Après Babel, traduire » au Mucem de Marseille du 14 décembre 2016 au 20 mars 2017, ATLAS a proposé entre janvier et février, huit ateliers de traduction dans plusieurs lycées de Marseille et Marignane. Des traducteurs littéraires de l’anglais, de l’arabe, de l’espagnol, de l’italien, du latin et du russe sont allés à la rencontre de différentes classes pour parler de leur métier et transmettre l’expérience, grâce à la traduction, de la richesse d’une navigation entre les langues.

Ces ateliers ont été l’occasion pour ces lycéens, dont beaucoup avaient déjà visité « Après Babel, traduire », de revenir concrètement sur certaines des problématiques abordées par l’exposition, telles que les intraduisibles.

Dominique Vittoz, qui est intervenue auprès d’une classe de vingt-deux élèves bilingues italien/français du Lycée Marseilleveyre, a proposé un texte de Andrea Camilleri présentant une contrainte qu’elle décrit ainsi :

« Le texte de Camilleri se situe en 1929 : un poète officiel doit rédiger un poème pour accueillir un jeune Éthiopien qui vient faire des études à Vigàta, petite ville de Sicile. Il veut inclure un mot éthiopien : « tuqul », qui veut dire masure, cahute. Mais il doit le faire rimer avec un mot italien qu’il ne trouve pas. Une discussion entre le poète et sa fille s’enclenche pour trouver la solution. En fin de compte, ils optent pour une rime qui contient une allusion biblique (la manne), sur laquelle toutefois ils font un contresens, car ils parlent d’un « arbre à manne », qui bien sûr n’existe pas. Nous devrons en français respecter la même contrainte qui est simple (cabane – manne) mais se complique parce que d’autres essais de rime sont évoqués dans leur conversation et que leur traduction doit rester cohérente. Cette recherche leur a fait percevoir la marge de liberté du traducteur, sa nécessité. Nous avons donc travaillé avec cette idée d’invention et d’affranchissement. Les professeurs se sont étonnés de la concentration de leurs élèves. Ils ont traduit par groupe de deux ou trois, ce qui a donné dix ou douze traductions qui ont été lues ensuite et commentées. J’ai aussi proposé une solution avec un autre terme que manne : hutte – luth, où le luth est attribué à David, ce qui est un contresens puisque David jouait de la lyre. J’ai laissé un deuxième texte aux professeurs sur le thème des intraduisibles : les régionalismes en italien. »

Santiago Artozqui et Paul Lequesne ont animé, quant à eux, deux ateliers s’inspirant de « la théorie du gladiateur », le principe étant de reconstituer un texte français à partir de ses différentes traductions. L’exercice portait sur les 2e et 3e strophes du poème Ocenao Nox de Victor Hugo.

 

Une formule particulièrement appréciée par la classe d’UPE2A (Unité pédagogique pour élèves allophones arrivants) du Lycée Saint Charles de Marseille. Paul Lequesne a travaillé à partir de traductions arabe, russe, anglaise, italienne et turque avec une dizaine d’élèves allophones arrivés tout récemment en France, âgés de 14 à 18 ans : Laïa (Syrie), Calogero (Italie, Sicile), Anissa (Algérie), Grigor (Arménie), Vladislav (Ukraine), Hratcho (Russie), Jacques (Syrie), Cilia (Algérie, Kabylie), Berhiv (Turquie), Alfredo (Italie), Wail (Italie), Aymene (Algérie), Sarra (Tunisie), Ikram (Algérie), et leur professeur de français, Mme Cécile Exbrayat. Une expérience qu’il résume ainsi :

« Nous avons commencé par lire les textes traduits à haute voix, pour en entendre la musique. Toutes les traductions, hormis l’italienne, très littérale, étaient magnifiques, leurs auteurs s’étant attachés à rendre la forme de l’original, ou au moins une forme qui lui fût comparable. Les élèves en ont reconnu d’emblée, à l’oreille, l’excellente qualité. Puis ils se sont répartis par petits groupes de trois ou quatre élèves par langue, pour établir un mot à mot français des différents textes. Après une pause bien venue, nous avons procédé par vote à une sorte de moyenne des mot-à-mot ainsi produits à partir des différentes traductions, tout le monde débattant de la justesse des mots et des expressions proposées. J’ai expliqué ensuite la structure du texte original— strophes de six alexandrins à structure AABCCB — toutes notions qui n’étaient nullement étrangères aux élèves de cette classe, initiés dès le début de l’année à la poésie française par leur énergique professeur. L’on s’est aperçu très vite que la forme même du poème conduisait à des choix obligés, et si nous n’avons eu le temps au bout du compte de ne traduire que les deux premiers vers de la seconde strophe, nous avons eut le plaisir de constater que nous n’étions pas loin de penser comme Victor Hugo (voir photo du résultat final). »

Paul Lequesne relève également avoir été surpris par l’excellent niveau de français de tous ces jeunes gens, certains arrivés en France seulement quatre mois plus tôt, et aussi par leur constante attention et leur intérêt pour un exercice somme toute extrêmement difficile à traiter (traduire un poème dans une langue qui n’est pas la sienne).

À la suite de cet atelier, Cécile Exbrayat, enthousiaste, a déclaré être « en train de repenser ses séquences de littérature en mettant davantage l’accent sur les questions de traduction. »

Autre témoignage pour l’atelier français-espagnol au lycée Marseilleveyre

Julia Azaretto, traductrice de l’espagnol

« Nous avons travaillé sur un texte où les contraintes formelles étaient très fortes : jeux de mots, allitérations, assonances, intertextualité, français ancien. Pour reprendre les termes de l’exposition, je dirais que nous avons travaillé essentiellement sur le corps de la langue. Pour cet atelier, j’ai choisi le texte « Contre les bêtes » de Jacques Rebotier, d’une part parce que c’est un texte de qualité et très drôle — en fait, il évoque avec beaucoup d’humour l’absurdité de la position de l’homme vis-à-vis des autres espèces et de l’environnement —, et d’autre part parce que ce texte offre une riche palette d’exemples pour montrer que dans la langue en général, et dans la littérature en particulier, le sens n’existe pas sans une forme. Comme le Mucem avait demandé au lycée Marseilleveyre de travailler le thème des intraduisibles, j’ai proposé un texte à première vue « intraduisible ». C’était une manière de montrer qu’il existe toujours une solution. Une solution parmi d’autres, bien entendu. Une solution qui implique des choix et par conséquent du renoncement, car on ne peut tout traduire. Je voulais briser un tant soit peu cette vision idéaliste — platonicienne — du langage et de la traduction qui est très courante. Bien sûr, le sens est important, mais il ne faut pas oublier que sans les mots il n’existe pas. Et les mots ont une matière, un corps, c’est-à-dire un registre, une longueur, une tonalité, un rythme, des aigus et des graves, des connotations, des référents, etc. Que dire si on ajoute à tout cela des allitérations, des jeux de mots et des assonances !! Que le texte est intraduisible ? Pas forcément. Bien au contraire. Je pense que l’intraduisible est ce qu’on ne cesse de traduire et non ce qu’on ne peut traduire.

C’était très intéressant d’évoquer cela avec les élèves à partir d’exemples précis. D’ailleurs, un garçon était très étonné parce que je proposais de traduire « on dit merci bien » par « se dice gracias gringos ». Et il ne comprenait pas pourquoi je voulais « ajouter » le terme « gringos ». Je lui ai alors expliqué que dans le texte original « merci bien » était là pour rimer avec « indien », (« indios » qui rime avec « gringos ») et que cela produisait un effet qu’il était indispensable de traduire !

Du désir au plaisir de traduire

C’est très courant, quand on traduit de la littérature, qu’on veuille faire découvrir des auteurs qui nous ont marqués. Et si l’on parle une langue étrangère ce désir de partage passe par la traduction. Le désir de traduire est différent pour chacun, mais j’ai pu constater que, bien souvent, derrière celui-ci se cachait une histoire de vie, une existence partagée entre plusieurs pays, une filiation qui traversait nos frontières. Et c’était le cas de quelques élèves. Quelques jeunes filles m’ont beaucoup interrogée sur la formation du traducteur, sur les contraintes du métier. On a également évoqué la différence entre l’interprète de conférence et le traducteur, la traduction technique et la traduction littéraire : pourquoi on ne signe pas la traduction d’un manuel d’aéronautique alors qu’on signe celle d’un poème ou d’un roman ? Qu’est-ce que cela implique ? À quoi cela fait-il référence ? »

Calendrier des ateliers

20/01/2017 • Lycée professionnel Maurice Genevoix de Marignane

  • Atelier « La théorie du gladiateur » par Santiago Artozqui : deux strophes du poème Oceano Nox de Victor Hugo, à partir de traductions allemande, anglaise, espagnole et chinoise

26/01/2017 • Lycée Marseilleveyre de Marseille

  • Atelier d’arabe avec Lotfi Nia
  • Atelier d’espagnol avec Julia Azaretto
  • Atelier d’italien avec Dominique Vittoz

06/02/2017 • Lycée professionnel de la Floride de Marseille

  • Atelier d’anglais avec Julie Sibony

31/01/2017 • Lycée Saint Charles de Marseille

  • Atelier « La Théorie du gladiateur » avec Paul Lequesne : 2 strophes du poème Oceano Nox de Victor Hugo, à partir de traductions russe et arabe

27/02/2017 • Lycée Victor Hugo de Marseille

  • Atelier de latin avec Danièle Robert
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