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« La Fabrique des traducteurs » : atelier long de professionnalisation – français-arabe-français – Arles

Cet atelier long, destiné à trois traducteurs de l’arabe vers le français et trois traducteurs du français vers l’arabe, s’est déroulé à Arles du 21 novembre 2022 au 27 janvier 2023. Il visait à la professionnalisation des traducteurs, la création d’un premier portfolio de titres à traduire et la rencontre des participants avec des éditeurs des deux rives.

 

Les participants étaient hébergés au Collège International des traducteurs littéraires (CITL) d’Arles et bénéficiaient d’une bourse d’étude. Ils étaient guidés tout au long de cette formation par des traducteurs tuteurs expérimentés qui ont porté sur les travaux leurs regards respectifs, différents et complémentaires.

Les participant.es à "La Fabrique des traducteurs" et leurs tutrices, Sarah Rolfo et Marie Tawk, dans les jardins de l'Espace Van Gogh à Arles - novembre 2022

Livres des deux rives

Cet atelier était organisé dans le cadre du projet Livres des deux rives – un dialogue méditerranéen par le livre, mis en œuvre par l’Institut français, et financé par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères français, dans le cadre du Fonds de solidarité pour les projets innovants, les sociétés civiles, la francophonie et le développement humain (FSPI).

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9,4 /10

Source : questionnaires de satisfaction 2022

La Fabrique des traducteurs a été pour moi une expérience très positive. J’ai eu la chance d’être accompagnée dans mon projet de traduction et de faire la connaissance de personnes incroyables aux expériences variées de qui j’ai beaucoup appris (les tuteurs et tutrices, les autres participant-e-s mais aussi l’équipe d’ATLAS). Vivre au Collège des traducteurs a également été l’occasion d’échanger avec les autres personnes en résidence, en dehors du cadre de l’arabe, et de participer à des rencontres littéraires très enrichissantes. Je suis très reconnaissante de cette opportunité et vois déjà en quoi cette expérience marquera mon travail de traductrice par la suite. 

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Source : questionnaire de satisfaction 2022

Les participants :

Dans le sens arabe > français 

Chakib Ararou, pour la traduction de "Daftār al-‘ābir" ("Cahier du passant"), de Yassin Adnan, éditions Toubkal (Casablanca, 2012).
Chakib Ararou (Rabat, 1992) est diplômé en lettres modernes, en traduction et en arabe littéral. Depuis 2019, il effectue une recherche doctorale sur la relation des écrivain·e·s marocain·e·s contemporain·e·s avec le Mashriq à l’université d’Aix-Marseille. Il a en outre contribué à diverses revues en tant que critique littéraire et traducteur.

Pour sa participation à La Fabrique des traducteurs, Chakib travaillera sur Daftār al-‘ābir (Cahiers du passant), de Yassin Adnan, éditions Toubkal, 2012.

 

Aymen Gharbi, pour la traduction de "Le chasseur de larves", de Amir Tag Elsir, éditions Thaqafa (UAE, 2010).
Aymen Gharbi, né en Tunisie en 1981, publie ses deux premiers romans en  2018 et 2021 aux éditions Asphalte (Paris). Son troisième roman est à paraître au début de l’année 2023.

Depuis 2018, il a effectué plusieurs ateliers d’écriture avec des adultes et des lycéens, notamment en collaboration avec l’Académie de Montpellier, les Cafés littéraires de Montélimar et l’université Gaston Berger de Saint-Louis au Sénégal. Il a également animé une rencontre avec des détenus du Centre pénitentiaire de Villeneuve-lès-Maguelone.

Il a été invité dans plusieurs festivals comme le Maghreb-Orient des livres à Paris, La Comédie du livre à Montpellier, le Festival du livre de Collioure, le Festival international du roman noir à Frontignan, les Cafés littéraires de Montélimar… En octobre 2019, il est membre du jury “section documentaire” du Festival du cinéma méditerranéen de Montpellier, Cinemed.

Dans le cadre de La Fabrique des traducteurs, il traduira de l’arabe au français le roman du soudanais Emir Tag Elsir, Le chasseur de larves, publié aux éditions Thaqafa (Emirats Arabes Unis) en 2010.

 

Lola Maselbas, pour la traduction de "Chagrin dans mon cœur", de Hilal Chouman, éditions Khan al-Janub (Berlin, 2022).
Née en 1994 à Marseille, Lola Maselbas est une jeune traductrice littéraire. Elle découvre l’arabe au primaire dans un centre de loisir et, fascinée par cette langue, décide d’intégrer un cursus international au collège et au lycée. Après son baccalauréat, elle quitte la France pour faire des études supérieures en anthropologie et un parcours en céramique d’art au Québec. Elle revient toutefois vers l’arabe en 2018 en intégrant l’Inalco, et complète un master en traduction littéraire. Elle s’intéresse à la littérature arabe moderne et contemporaine, et plus particulièrement aux récits ayant une portée engagée et politique. Elle fait aujourd’hui partie de l’association Translations qui édite CAFÉ, une revue littéraire de traduction consacrée aux langues minorées.

Dans le cadre de La Fabrique des Traducteurs, Lola traduit de l’arabe vers le français “Chagrin dans mon coeur”, de Hilal Chouman (Berlin, Khan al-Janub, 2022)

Dans le sens français > arabe

Ismahen Chaabouni, pour la traduction de "Le bleu des abeilles" de Laura Alcoba (Gallimard, 2013).
Ismahen Chaabouni est écrivaine de nationalités française et tunisienne. Elle écrit des nouvelles et des articles en langue arabe. Elle a publié en 2021 un recueil de nouvelles intitulé « al-janib al-âkhar min attariq » (L’autre côté de la route). Elle est titulaire d’un doctorat en droit public et droit fiscal de l’Université de la Sorbonne (Paris) et d’un Master en langue et civilisation arabes de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (Paris). Elle a exercé auparavant le métier d’avocat au barreau de Paris et travaille désormais en tant que rédactrice.

Pour sa participation à La Fabrique des traducteurs, Ismahen traduira vers l’arabe Le bleu des abeilles de Laura Alcoba (Gallimard 2013 / Folio 2015).

Arige Gamal, pour la traduction de "Consentement", de Vanessa Spingora (Grasset, 2020)
Écrivaine, traductrice, et journaliste égyptienne née en 1989, Arige Gamal a publié deux recueils de nouvelles au Caire, et un roman chez Dar Al Saqi à Beirut “ أنا أروى يا مريم” qui a obtenu le prix littéraire égyptien Sawiris de 2021. Elle a traduit du français vers l’arabe “La sirène du Caire” de Pierre Gazio, et “Par les routes” de Sylvain Prudhomme.

Dans le cadre de La Fabrique des traducteurs, Arige travaillera sur Consentement, de Vanessa Springora (Grasset, 2020).

 

 

Abdelmajid Sebbata, pour la traduction de "Le Mage du Kremlin", Giuliano da Empoli (Gallimard, 2022).
Abdelmajid Sebbata, 33 ans, écrivain et traducteur littéraire marocain, est né à Rabat en 1989. Titulaire d’abord d’un master en génie civil puis d’un master de traduction (2022), il a commencé son parcours littéraire par un premier roman paru en 2015. Son deuxième roman a remporté le grand prix du livre au Maroc en 2018, et le troisième a été shortlisté pour le Booker, prix international du roman arabe, en 2021. Il commence à s’intéresser à la traduction littéraire en 2018, avec deux romans de l’écrivain français Michel Bussi dont il publie la traduction du français vers l’arabe aux éditions du Centre Culturel Arabe. En 2021, il publie deux traductions depuis l’anglais chez le même éditeur, et travaille aussi sur une nouvelle traduction du roman de Stefan Zweig « La pitié dangereuse ».

Dans le cadre de La Fabrique des traducteurs, Abdelmajid travaillerai sur la traduction vers l’arabe de Le Mage du Kremlin, de Giuliano da Empoli (Gallimard, 2022)

Les tuteurs de l’atelier

Rania Fathy est professeure de littérature comparée et de traduction au Département de Français de l’Université du Caire. Elle a travaillé pendant six ans au Centre National de Traduction (Ministère de la Culture – Égypte), où elle dirigeait le département de rédaction et le bureau technique. Elle est traductrice de plusieurs œuvres du français vers l’arabe en littérature, histoire et critique d’art, d’extraits de textes de l’arabe vers le français. Elle a évalué et révisé plusieurs traductions. Elle est publiée, entre autres, par Le Centre National de Traduction, la Bibliotheca Alexandrina et Skira.

Agrégé d’arabe, professeur de langue et littérature arabes modernes à l’université d’Aix-Marseille et chercheur à l’Institut de Recherches et d’Etudes sur les Mondes Arabe et Musulmans (IREMAM, CNRS, Aix-en-Provence), dont il est actuellement directeur, Richard Jacquemond a résidé plus de quinze ans en Égypte, où il a notamment dirigé (1988-1995) le programme de traduction de la mission culturelle française puis préparé sa thèse de doctorat (1999), dont une version éditoriale a été publiée en 2003 (Entre scribes et écrivains. Le champ littéraire dans l’Egypte contemporaine, Actes Sud-Sindbad ; traductions arabe et anglaise). Ses recherches portent sur l’histoire et la sociologie des littératures arabes modernes, en particulier celles d’Égypte, et sur les échanges traductionnels entre l’arabe et les autres langues. Dernier livre paru : (en codirection avec Frédéric Lagrange), Culture pop en Égypte. Entre mainstream commercial et contestation, Riveneuve Editions, 2020.

Il a également traduit plus de vingt ouvrages de l’arabe, dont huit romans de l’écrivain égyptien Sonallah Ibrahim et, dernièrement, deux livres d’Iman Mersal : une anthologie poétique (Des choses m’ont échappé, Sindbad/Actes Sud, 2018) et un récit (Sur les traces d’Enayat Zayyat, Sindbad/Actes Sud, 2021, prix de la traduction Ibn Khaldoun-Senghor 2021).

Lotfi Nia est né à Alger en 1978. Il s’investit depuis 2005 dans la traduction de la littérature contemporaine, notamment de la poésie, avec Hassan Hourani et Ghassan Zaqtan, mais aussi du roman algérien d’expression arabe : H’mida Ayachi, Abdelzahab Ben Mansour, Bachir Mefti et Samir Kacimi. Il a participé en 2011 à la première formation de l’arabe vers le français de la Fabrique des traducteurs organisée par ATLAS. Il vit et travaille à Marseille.

Sarah Rolfo est née en 1979 à Gand, en Belgique. Après des études d’arabe à l’Université libre de Bruxelles, elle a vécu en Syrie, à Damas, où elle a enseigné le français et la traduction au Centre culturel français et à l’Institut supérieur d’interprétation et de traduction. Sa passion pour la littérature et les mots l’ont menée tout naturellement vers la traduction littéraire. Elle a collaboré ponctuellement à la rubrique littéraire Bonnes feuilles de la revue Qantara. Depuis 2012, elle s’intéresse aussi de près à la littérature jeunesse en langue arabe et est membre du Comité de lecture Monde arabe de la revue Takam Tikou. Elle a notamment traduit Histoires de départ, rêves de retour de Sadek Abou Hamed (L’Harmattan, 2009), Barques de Montagnes de Wajdi al-Ahdal (Bachari, 2011) et Moi, étoile filante de Khaled Al-Khamissi (Actes Sud, 2021). Aujourd’hui, elle vit et travaille à Marseille.

Walid Soliman est un traducteur, écrivain et éditeur tunisien. Il est l’auteur d’œuvres de fiction, dont La dernière heure d’Einstein (2008) et Joyeux cauchemars (2016) et a traduit une dizaine de livres du français, de l’anglais et de l’espagnol vers l’arabe, parmi lesquels : La femme lapidée de Freidoune Sahebjam (éditions Walidoff, Tunis, 2009), Eros dans le roman de Mario Vargas Llosa (Éditions Walidoff, Tunis, 2009), L’ami du défunt d’Andreï Kourkov (Éditions Walidoff, Tunis, 2012), Une farouche liberté de Gisèle Halimi et Annick Cojean (éditions La Maison du livre (دار الكتاب), 2022)… En 2008, il a fondé les Éditions Walidoff à Tunis. Il participe régulièrement à des manifestations culturelles dans divers pays et anime des ateliers d’écriture et de traduction en Tunisie, en Algérie, et aux Émirats Arabes Unis.

Marie Tawk, née au Liban, vit et travaille à Byblos. Traductrice de plus de 45 romans, essais, scénarios et pièces de théâtre, parmi lesquels : Les Belles endormies de Kawabata (éd. Al-Adab, 1992) ; L’Insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera (éd. Centre Culturel Arabe, 1997) ;  Aurélia et Les Filles du feu de Gérard de Nerval (éd. El-Farabi, 2004 / éd. Kalima) ; L’histoire de Beyrouth de Samir Kassir (éd. An-nahar, 2006) ; Le Bien des absents de Elias Sanbar (éd. An Nahar, 2007 ) ; Les Mandarins de Simone de Beauvoir (éd. Al-Adab/Kalima, 2010) ; La Montagne de l’âme de Gao Xingjian (co-traduit avec Bassam Hajjar, éd. Al -Adab/Kalima, 2010); Zone et La Rue des voleurs de Mathias Enard (éd. Librairie orientale, 2011 / éd. Dar el Jamal, 2013) ; Sous la tonnelle de Hyam Yared (éd. Al-Adab, 2011) ; Oeuvres de jeunesse de Gustave Flaubert (éd. Kalima) ; Trois femmes puissantes, Mon cœur à l’étroit et Un temps de saison de Marie Ndiaye (éd. Kalima, 2017-2018) ou encore Le traité de Pois-chiche de Farouk Mardam-bey (éd. Kalima, 2021).

Elle a participé à trois ateliers de traduction ; le premier à Abu Dhabi en 2011, et les deux autres dans le cadre de La Fabrique des traducteurs (programme porté par ATLAS) à Marrakech en 2013 et à Arles en 2016. Ses nouvelles et articles ont été publiés dans plusieurs journaux arabes. Sa nouvelle Voiles sur l’asphalte a été publiée dans le cadre d’une anthologie : Beyrouth Noir, dans laquelle l’écrivaine Imane Humaydane rassemblait autour d’elle quinze écrivains mettant en scène la capitale libanaise, avec la guerre civile (1975-1990) pour toile de fond.

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