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Deuxième tutorat de l’atelier français-chinois 2018 : Complicité et concentration pour d’intenses phases de travail en binôme

Deuxième tutorat de l’atelier français-chinois 2018 : Complicité et concentration pour d’intenses phases de travail en binôme

16 mai 2018 Ateliers de traduction, Journal de bord de la Fabrique, La Fabrique des traducteurs, Sans catégorie, Traduction littéraire
e.pagano_FDT_CH_2018_07
https://www.atlas-citl.org/wp-content/uploads/2018/05/Video-WEB-ok-FdT-interview4-25-04-2018.mp4

VIDÉO [Durée : 3:53 mn]

Interview réalisée par ATLAS le 25 avril 2018 au CITL avec : Norbert Danysz, Pierre-Mong LIM, Wenzhu PAN et Yannan WU.

MENG Tian et Stéphane LÉVÊQUE ont achevé le 2e tutorat de l’atelier français-chinois 2018 de la Fabrique des traducteurs. Une deuxième phase de travail qui a débuté sous les meilleurs auspices avec la rencontre à Arles du poète et peintre chinois Lao Shu pour une signature de son dernier ouvrage paru aux éditions Picquier, Un monde simple et tranquille. Ils nous décrivent cette étape centrale de l’atelier où le terme tuteur a trouvé tout son sens : soutenir et consolider.

Vous avez constitué le deuxième tandem de tuteurs, les participants sont partis pour Pékin pour entamer la dernière phase de leur formation, comment le travail s’est-il organisé ?

Stéphane Lévêque : Nous avions neuf jours de travail devant nous, il fallait bien sûr déterminer un emploi du temps mais surtout connaître leurs souhaits pour cette deuxième étape. Notre rencontre s’est fait très facilement et joyeusement car la veille de la reprise de l’atelier, j’ai souhaité que nous dînions tous ensemble avec l’éditeur Philippe Picquier, pour qui je travaille régulièrement, et son auteur chinois invité pour une signature, le poète et peintre Lao Shu. C’était vraiment idéal, tout s’est joué lors de ce dîner qui a d’emblée brisé la glace. Lors du premier tutorat, ils avaient traduit dix ou quinze pages et ils avaient le désir d’aller plus loin dans le détail. Donc, leur demande était vraiment des séances de travail individuelles en tête à tête avec les tuteurs. Nous avons avec MENG Tian été à l’écoute de cette demande. Ils ont revu ce qu’ils avaient déjà traduit et de nouveaux passages. 

MENG Tian : Oui, chacun a eu quatre séances de trois heures en binôme avec son tuteur pour une relecture approfondie, ligne à ligne, des extraits choisis. De mon côté, j’ai travaillé à améliorer les premiers jets en creusant les questions de style et de rythme mais aussi en répondant aux problèmes rencontrés, aux erreurs de compréhension en suspens. Avec LIN Yuan qui traduit Les Loyautés de Delphine de Vigan, nous avons abordé la question du souffle du texte, mais aussi le ton, le rythme et les registres de langue. Il y a vraiment une énergie dans son écriture qu’il faut restituer. Pour Nouons-nous d’Emmanuelle Pagano traduit par WU Yannan, la question du genre s’est reposée à nous. Le genre n’existe pas en chinois et l’auteur joue de surcroît beaucoup avec cette question. Il y a notamment un passage où elle joue sur le genre du mot « élagueur / élagueuse » et encore mieux avec « sentinel / sentinelle », nom dont elle change le genre pour les besoins de son propos. En fait, nous y avons fait face après la venue de l’auteur que nous avons eu la chance de rencontrer pour une séance collective le 20 avril. À cette occasion, elle a évoqué la traduction anglaise, nous nous y sommes reportées aussi. Yannan a trouvé une bonne solution, les genres masculin et féminin ont été remplacés par l’apposition de fonctions sociales hiérarchiques qui signifient beaucoup en Chine (ainsi « élagueur / élagueuse » est rendu par 树艺大师/树艺小师). Il y a aussi beaucoup de jeux de sens chez Emmanuelle Pagano. Elle a souligné par exemple l’emploi du mot « foyer », son double sens (lieu où l’on fait du feu, lieu où habite, où vit une famille) qui entraîne d’autres références dans le texte. Nous avons donc choisi un idéogramme qui comporte la clé du feu 灶 pour traduire « foyer », qui entre en résonance plus loin avec l’expression 劈柴生火 (fendre la buche pour faire du feu). Ainsi nous jouons non pas sur la dimension phonétique comme on peut le faire en français avec les allitérations mais sur la dimension graphique de notre langue. Il y a un passage également où l’instrument de musique du personnage, le diminutif « sax », évoque clairement dans le contexte le mot anglais « sex ». Nous avons cherché à reproduire cet effet et par chance, il existe une expression, une image en chinois qui réfère à la sexualité et qui fait également appel à un instrument de musique : « souffler dans la flûte ». Ça fonctionne, la flûte comporte également une sourdine, nous avons vérifié, et il nous fallait retrouver cet élément pour traduire la suite du passage. Quelques exemples des casse-tête auxquels nous nous sommes confrontées avec Yannan.

Et du côté des traducteurs français, comment avez-vous travaillé Stéphane ?

Stéphane Lévêque : En approfondissant également, mais si chaque tuteur travaillait dans sa langue, nous avons toujours fait en sorte que les binômes français et chinois se déroulent en coprésence pour que l’interrelation reste possible et que chacun puisse bénéficier des éclaircissements de l’autre partie quand un problème de compréhension fine se présentait. MENG Tian a plusieurs fois été ma caution lorsque les fabriqués doutaient de ma solution ou de mon interprétation ! C’est un excellent dispositif car lors de ma première Fabrique nous avions procédé à l’inverse avec WANG Dongliang et c’était une erreur. La Fabrique est un laboratoire d’un point de vue pédagogique et d’une Fabrique à l’autre, on s’améliore. MENG Tian, qui ne se pensait pas à la hauteur au départ, évoquait lors de nos discussions l’aspect « artisanat » de la Fabrique des traducteurs, et c’est vraiment ça. D’ailleurs Yannan regrette déjà que ce soit trop court ! En tant que tuteurs, c’est une très belle expérience pour nous deux. La relation qui s’est instaurée avec ces jeunes traducteurs est profonde. Wenzhu a évoqué une transmission de type confucéenne, car le maître ne transmet à son disciple que dans la pratique.

MENG Tian : Oui, on peut dire que des rapports maître / disciple s’instaurent. J’enseigne à l’ESIT et ma pratique y est assez proche de celle de la Fabrique des traducteurs, sauf qu’ici on travaille exclusivement sur un matériau littéraire.

Stéphane Lévêque : Avec MENG Tian, nous avons construit une belle complicité, nous sommes complémentaires et nous avons aimé travailler ensemble, on ne s’est jamais disputés ! Et puis le cadre du CITL à Arles, c’est un cadre très paisible et c’est essentiel.

Concernant les traducteurs français, les trois textes chinois sont très différents : une nouvelle de 12 pages de WANG Anyi pour Norbert Danysz, qui donnera certainement 16 pages en français. Norbert est très jeune, il a 22 ans mais a envie d’apprendre. Il est très ouvert et a une sensibilité littéraire évidente. Nous avons revu le texte ligne à ligne pour sentir le ton du texte. Il s’agit d’une œuvre de jeunesse qui relate une journée traversée de réminiscences du passé. Les temps n’étant pas marqués en chinois il a fallu les trouver en français, clarifier. C’était l’étape du débroussaillage pour aller ensuite vers plus de subtilité car si c’est une œuvre de jeunesse et que son écriture peut paraître simple, elle renferme beaucoup de subtilités. C’est ce qui a accroché Norbert qui l’a d’ailleurs choisie pour son mémoire. Norbert est bien tombé avec moi si je puis dire car j’ai moi-même traduit 500 pages de WANG Anyi il y a 13 ans de cela, en 2005.

Avec Pierre-Mong LIM, le phénomène a été très intéressant puisqu’il avait choisi un texte dont il n’était pas absolument sûr et en le traduisant il s’y est vraiment attaché. Xiaoshuo xuan de Bai Ren raconte l’histoire d’un jeune chinois immigré qui quitte sa Chine natale pour les Philippines. C’est un très joli texte et Pierre-Mong avait déjà produit un bon premier jet dans un français élégant. Il avait déjà su capter le style de l’auteur car il a lui-même une très belle plume, une fibre littéraire. Notre travail a donc porté davantage sur des questions de grammaire.

Pour Johanna Gayde qui traduit Shaonian Babilun de LU Nei, sa demande était très différente. Elle est très enthousiaste quant à son texte et son auteur et elle veut traduire beaucoup et vite ! C’est un excellent choix de texte, l’éditeur Philippe Picquier que nous avons rencontré s’est d’ailleurs montré très intéressé. Du point de vue de la langue, il comporte beaucoup de passages très oraux et l’humour et l’ironie y sont très présents. Johanna est celle qui fait preuve du plus de liberté par rapport au texte original, car elle vit entre plusieurs langues et voudrait traduire ensuite ce texte également vers l’espagnol.Sa demande était donc de tout revoir de façon linéaire pour s’assurer qu’elle n’était pas partie trop loin dans ses choix pour rendre compte du registre oral et nous avons trouvé ensemble beaucoup de solutions parfois moins « abruptes ».

Donc trois textes contemporains dont deux déjà plus anciens (Bai Ren et Wang Anyi) qui reflètent l’évolution de la littérature chinoise depuis trente ans.

Nous avons établi une belle complicité et en neuf jours nous avons traduit 40 pages de chinois, c’est énorme !, c’est plus que ce que je peux produire moi-même en temps normal. Pour le tuteur, c’est une jolie expérience, une grande leçon de modestie et dans le même temps cela nous renforce dans le sentiment de pouvoir transmettre quelque chose. C’est un plaisir intellectuel autant qu’humain. Ils sont tous très doués et très sympathiques, je suis très triste de les quitter !

Ils sont dans la dernière étape de leur formation avec deux nouveaux tuteurs à Pékin et Nankin, et vont finir avec une lecture publique, qu’est-ce qui les attend selon vous maintenant ?

Stéphane Lévêque : C’est Emmanuelle Péchenart et le poète et traducteur SHU Cai qui vont les guider. C’est un tandem très positif avec qui ils vont littérairement aborder une autre dimension, pour apporter la patine finale à leur texte. Nous nous sommes appelés pour faire le point, pour le passage de relai.

MENG Tian : Ce sera très positif pour eux. Wenzhu traduit Made in China de Jean-Philippe Toussaint, le style de cet auteur est très difficile vers le chinois. Sous une apparente simplicité et beaucoup d’effets de réels, c’est un texte très littéraire, très construit, avec des phrases très longues. Pour en restituer le souffle en chinois, il faut tout déconstruire et reconstruire car il y a le problème des prépositions… Emmanuelle Péchenart connaît bien les écritures expérimentales, elle a traduit Les Survivants de WU He, un texte ponctué uniquement de virgules, elle pourra partager son expérience. Il faudrait qu’il s’appuie également sur Lire et écouter Proust en chinois qui a été traduit par ZHANG Yinde, son premier tuteur, ZHOU Kexi et XU Hejin par exemple.

L’atelier français-chinois 2018 de la Fabrique des Traducteurs est soutenu par le CCTSS – Chinese Culture Translation & Studies Support, l’ambassade de France en Chine, l’Institut français, le Ministère de la Culture et de la Communication – Délégation générale à la langue française et aux langues de France, la SOFIA, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Ville d’Arles, le conseil départemental des Bouches-du-Rhône.

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