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Atelier ViceVersa allemand / français 2020

Du lundi 12 au vendredi 16 octobre 2020 (arrivée le 11 et départ le 16), l’atelier est organisé au Collège international des traducteurs littéraires, coproduit par l’association ATLAS et le programme ViceVersa de TOLEDO/Deutscher Übersetzerfonds et de la Robert-Bosch-Stiftung. Avec l’aimable soutien du ministère allemand des Affaires étrangères et du Centre de Traduction Littéraire de Lausanne.

Depuis 1994, cet atelier bilingue conçu comme un lieu d’échanges entre collègues a fait ses preuves et servi de modèle pour d’autres langues. Tous les participants proposent un extrait d’une traduction en cours d’élaboration, qui sera l’objet du travail en groupe. L’ensemble des textes sera envoyé à tous les participants quelques semaines avant l’atelier pour leur permettre d’en effectuer une lecture critique. Tous les genres – poème, roman, théâtre, sciences humaines, etc. – sont admis, à condition toutefois que le texte, par son niveau d’écriture et d’intérêt et les problèmes de traduction qu’il pose, soit d’une exigence suffisante pour provoquer une discussion approfondie entre professionnels. Le contrat d’édition n’est pas une condition nécessaire.

L’atelier accueille 10 traducteurs – 5 traduisant vers l’allemand et 5 vers le français – qui ont déjà une expérience de la traduction littéraire (une publication au minimum). Les séances sont encadrées par une traductrice allemande et une traductrice française : Claudia Kalscheuer et Barbara Fontaine.

// Les participant·e·s //

De l’allemand vers le français

Lionel Felchlin, vit à Fribourg, traduit Henri le Vert, de Gottfried Keller (éd. Aubier Montaigne, 1992)

Né à Berne en 1980, Lionel Felchlin vit à Fribourg.  Il concilie traduction et vie d’orchestre après des études de lettres, de traduction littéraire et de musique en Suisse romande. En 2012, les Éditions Zoé publient sa première traduction suite à un travail de mentorat avec Marion Graf et Barbara Fontaine. Il a participé au programme franco-allemand Georges-Arthur Goldschmidt pour jeunes traducteurs littéraires en 2013 et à la promotion 2015-2016 de l’École de traduction littéraire du CNL à Paris. Il traduit de nombreux auteurs suisses, dont Lukas Bärfuss, Peter von Matt, Gertrud Leutenegger, Friedrich Glauser et Gottfried Keller. Il travaille actuellement à la (re)traduction de classiques de Gottfried Keller.

Ses traductions :

• Friedrich Glauser, La Légion étrangère : dans la vallée de pierres de l’Afrique, Préface de Christa Baumberger. Éditions Zoé, Carouge-Genève 2012
• Hannes Binder, Glauser, Éditions d’en bas, Lausanne 2015
• Peter von Matt, La Poste du Gothard ou les états d’âme d’une nation (Prix suisse du livre 2012), Éditions Zoé, Carouge-Genève 2015, finaliste du Prix Pierre-François Caillé de la traduction 2016
• Friedrich Glauser / Hannes Binder, Dada, Éditions d’en bas, Lausanne 2016
• Peter von Matt, Don Quichotte chevauche par-delà les frontières. L’Europe comme espace d’inspiration, Éditions Zoé, Carouge-Genève 2017
• Lukas Bärfuss, Koala (Prix suisse du livre 2014), Éditions Zoé, Carouge-Genève 2017
• Johann David Wyss, Le Robinson suisse, adapté par Peter Stamm, La Joie de lire, Genève 2017
• Gertrud Leutenegger, Panique printanière, Éditions Zoé, Carouge-Genève 2017
• Lukas Bärfuss, Hagard, Éditions Zoé, Carouge-Genève 2018
• Carl Spitteler, « Notre Point de vue suisse », in : Helvétique Équilibre, Dialogues avec le Point de vue suisse du prix Nobel de littérature 1919, Éditions Zoé, Chêne-Bourg 2019
• Peter von Matt, Sept Baisers, Alma éditeur, Paris 2019
• Reto Hänny, L’Ombre de Bloom, Éditions d’en bas, Lausanne 2020
• Gottfried Keller, Les Gens de Seldwyla, Éditions Zoé, Chêne-Bourg 2020
• Friedrich Glauser, Correspondance, édition avec Christa Baumberger, Éditions d’en bas, Lausanne (2021)

Nathalie Garbely, vit à Genève, traduit Schule der Indienfahrer, de Friederike Kretzen (Stroemfeld Verlag, Frankfurt am Main/Basel, 2017)
Nathalie Garbely vit à Genève. Elle écrit, traduit et mène plusieurs activités dans le milieu littéraire. En 2014, elle crée LE CADDIE avec Isabelle Sbrissa, une bibliothèque itinérante et multilingue de poésie contemporaine. Ses parutions récentes sont « quand se renverse » (extrait), Europe (avril 2020), « par contre-temps », Die Zäsur (essais agités, 2020) et la traduction de trois proses brèves de Mariella Mehr, La Revue de Belles-Lettres (automne 2020).

Actuellement, elle traduit Schule der Indienfahrer de Friederike Kretzen (Stroemfeld, 2017). Construit en vingt-sept leçons, le récit articule deux voyages en Inde, effectués dans les années 1970 et en 2014. Il est question d’amitié, d’un amour perdu et des aspirations d’une jeunesse, mais aussi des nombreux fantômes qui hantent l’Allemagne de l’Ouest au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Entrecroisant souvenirs, observations, rêves et réflexions dans une prose dense et rythmée, Friederike Kretzen dresse le portrait d’une époque et d’une génération. Ce livre a été récompensé par un Prix suisse de littérature 2018.

Traductions littéraires (sélection)
Poèmes en prose de Li Mollet, tirés de irgendwann vielleicht (taberna kritika, Berne, 2015), Europe, Revue littéraire mensuelle (1073-1074), 11-10.2018, pp. 261-265.
« Un jour, peut-être », poèmes de Li Mollet, tirés de irgendwann vielleicht (2015), Le Courrier, 29.05.2017, p. 12
« Le mot de la traductrice », Le Courrier.ch, 29.05.2017
Le fantôme et la pluie de monnaie, récit pour la jeunesse de Peter Kamber, (Vom Gespenst, das Geld regnen liess, SJW, 2017), OSL, Zurich, 2017
Textes poétiques (sélection)

« par contre-temps », livre collectif, Essais agités, Berne, 2020 (à paraître)
« Entre nous », Versant : revue suisse des littératures romanes (67)1, 2020 (à paraître)
quand se renverse (extrait), Europe, revue littéraire mensuelle (1092), 04.2020, pp. 196-201
« d é cl a… », A4 (20), « Le poème n’y a vu que des mots » 2/3, 03.2020, p. 4
la rOnde, projet collectif avec Françoise Delorme, Rolf Doppenberg et Isabelle Sbrissa
« poèmes XVII à XXIV », la feuille (5), 12.2017
« poèmes I à XVI », Résonnance générale, Cahiers pour la poétique (9), 10.2017, pp. 81-110
« À l’écoute à l’écho », Dissonance (136), 12.2016, p. 38
« Le K-dit a un an », Poésie romande.ch, 09.2015

Isabelle Liber, vit à Berlin, traduit Töchter, de Lucy Fricke (éd. Rowohlt, 2018)
Après des études de linguistique, un cursus de langues et littératures allemande et française à l’université de Strasbourg et un master d’édition à la Sorbonne, Isabelle Liber publie sa première traduction en 2002. Elle vit à Berlin depuis 2003 où elle travaille comme relectrice, notamment dans le domaine des livres d’art, et traductrice littéraire.

Elle traduit actuellement le roman de Lucy Fricke, Töchter, un road-movie grinçant et émouvant qu’elle a hâte de faire découvrir aux lecteurs et lectrices francophones.

Christophe Lucchese, vit à Berlin, traduit Westwärts 1 & 2 de Rolf Dieter Brinkmann (Rowohlt, 1999)
D’abord inspiré par le Nouveau Roman dans les années 1960, Rolf Dieter Brinkmann écrira des nouvelles et un roman en 1968, Keiner weiss mehr, traduit en français en 1971 chez Gallimard sous le titre La lumière assombrit les feuilles. S’intéressant de plus en plus à la poésie américaine à partir du milieu des années 1960, il traduira certains auteurs et éditera en 1969, avec Ralf-Rainer Rygulla, un recueil de poésie américaine, Acid. Neue amerikanische Szene qui fera date et contribuera à faire connaître la Beat Generation en Allemagne de l’Ouest.

Assez critique vis-à-vis des formes littéraires et artistiques post-soixante-huit, il se retire de la scène littéraire à partir des années 1970 pour s’adonner à l’écriture et aux collages dans ce qu’il appelle ses « Materialienbände » (ce qui donnera notamment Rome, Blicke, traduit en français et édité chez Quidam en 2008). C’est pendant ces années qu’il écrira son opus magnum poétique, encore inédit en France, Westwärts 1 & 2 qui sortira en 1975 après sa mort et lui vaudra le prix Pétrarque à titre posthume.

Christophe Lucchese, né en 1983 à Castres. Ancien étudiant de philosophie reconverti à la traduction, il conclut son Master par la traduction d’un article de Thomas Lemke sur la biopolitique chez Michel Foucault et un bref passage dans l’édition. Sa traduction Le Rire des bourreaux, parue au Seuil, prolonge par bien des aspects une réflexion amorcée par Klaus Theweleit dans Fantasmâlgories, traduit en 2016, un ouvrage monumental par sa taille et son ambition, mêlant histoire, philosophie, littérature et psychanalyse. Ce livre atypique, découvert en 2011 par Christophe Lucchese dans une maison d’édition allemande, Stroemfeld Verlag, ancienne Roter Stern Verlag, avec à sa tête l’ancien président de la SDS, KD Wolff, est proposé l’année suivante au programme Goldschmidt, programme franco-allemand.

Entre-temps, il est lauréat de Transfert Théâtral, pour une pièce de Michel Decar, Jonas Jagow. Depuis, il se consacre exclusivement à la traduction d’ouvrages littéraires et en sciences humaines.

Sophie Taam, vit à Nice, traduit Opernroman, de Petra Morsbach (btb, 2000)
Après avoir été autrice, éditrice (création des éditions incognito), la voici, depuis 2015, principalement traductrice littéraire, autodidacte, de l’allemand et l’anglais. Ses traductions incluent des ouvrages de genres très divers, avec une prédilection pour la littérature générale, la biographie, la musique et l’art contemporain.

Ses traductions de l’allemand vers le français :
• L’essai sociologique et de développement personnel J’arrête de travailler ! Les clés du frugalisme, de Gisela Enders paru aux éditions Yves Michel en avril 2019
• Le roman L’île aux camélias de Tabea Bach aux City éditions, paru en juin 2018
• Co-traduction du roman Le serment du Maori de Laura Walden aux City éditions, paru en novembre 2017
• Le catalogue de présentation publié pour les dix ans de l’IMAL (International Munich Art Lab, école d’arts plastiques et de multimédia)

De français vers l’allemand

Ina Böhme, vit à Berlin, traduit Solo Album. Notes alphabétiques roumaines, de Laurence Ermakova
Née en 1988 à Ludwigsbourg, Ina Böhme étudie la philologie française et italienne à Marburg et Poitiers avant de suivre des études interculturelles franco-allemandes à Tübingen et Aix-en-Provence, pour lesquelles elle obtiendra un double diplôme de master. Elle se spécialise dans la traduction littéraire au fil des années et après avoir vécu à Paris, Toulouse et Orléans, elle s’installe finalement à Berlin comme traductrice et relectrice indépendante. En 2018, elle est boursière du programme Georges-Arthur Goldschmidt pour jeunes traducteurs littéraires et obtient une bourse aux traducteurs pour projet individuel du fond allemand pour la traduction.

Ses publications :
• Frédérique Corre Montagu: Schlaf, Kindlein, schlaf!, Sachbuch, Anaconda Verlag, Erscheint im September 2020
• Michel Bussi: Nächte des Schweigens, Roman, Aufbau Taschenbuch, Erscheinungstermin: 01.09.2020
• Steve Mekoudja: Tala Ngai, Kurzgeschichte, 2017, Aus dem Französischen (Kamerun) / In: PARATAXE – das berliner stadtsprachen magazin, Klak Verlag 2019
• Christophe Carlier: Ressentiments distingués, Roman (Auszug), 2018,  Aus dem Französischen (Frankreich) / In: Le programme Georges-Arthur Goldschmidt 2018/Georges-Arthur-Goldschmidt-Programm 2018, OFAJ/DFJW 2018

Publikationen in Stadtsprachen, dem multilingualen Literaturmagazin der Berliner Gegenwartsliteratur (www.stadtsprachen.de)
• Henri-Michel Yéré: Abends ergebe ich mich / Es kreist das Gerücht / Meine Poesie / Niemand ist Dichter / Wir entstammen derselben Rinde, Gedichte, 2017 / Aus dem Französischen (Elfenbeinküste)
• Marie-Pascale Hardy: Abweichung: Schwächeanfall / Abweichung: mä andert / Lasset zu mir kommen … / fast Oktober / ein geruch von feuchtem moos, Gedichte, 2017 / Aus dem Französischen (Kanada)
• Nicolas Cavaillès: Das Leben des Herrn Leguat, Roman (Auszug), 2018 / Aus dem Französischen (Frankreich)
• Delphine de Stoutz: – Natürliche Selektion, Etüde (Auszug), 2018 / – Adult(R), Roman (Auszug), 2019 / Aus dem Französischen (Frankreich und Schweiz)
• Julie Tirard: Gegenübertragung, Kurzgeschichte, 2020 / Aus dem Französischen (Frankreich)

Hans Gregor Njemz, vit à Kiel, traduit Portrait du traductueur en escroc, de Bernard Hœpffner (Tristram, 2018)

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Né en 1978 dans le nord de l’Allemagne, Hans Gregor Njemz a étudié le français, le polonais et la philosophie. Il a vécu quelque temps à Paris et en Pologne avant de s’installer à Kiel où il se consacre à la traduction depuis 2011. Il a traduit en allemand divers textes polonais, aussi bien scientifiques que littéraires, parmi lesquels Pan Tadeusz d’Adam Mickiewicz. Son amour pour la langue et la littérature françaises ne l’ayant jamais quitté, il travaille actuellement sur la traduction de Portrait du traducteur en escroc de Bernard Hœpffner. Pianiste et organiste amateur, il aime entrecouper de moments musicaux ses séances de traduction.

Felix Kurtz, vit à Berlin, traduit Planète sans visa, de Jean Malaquais (Phébus, 2009)

Felix Kurz (né en 1974 à Göttingen) a fait des études de sociologie, de l‘histoire et de philosophie à Freiburg et Sussex. Depuis 2007 il travaille comme traducteur, notamment des sciences sociales et humaines. En plus de nombreuses ouvrages anglaises il a traduit des auteur.e.s français.e.s tels que Marc Augé, Sophie Wahnich et Geoffroy de Lagasnerie. Pour l‘atelier ViceVersa il a choisi pour la première fois un roman: Planète sans visa de Jean Malaquais (1908-1998).

Felix Kurz (geb. 1974 in Göttingen) hat Soziologie, Geschichte und Philosophie in Freiburg und Sussex studiert. Seit 2007 arbeitet er als Übersetzer vor allem sozial- und geisteswissenschaftlicher Literatur. Neben zahlreichen englischen Werken hat er auch französische Autor*innen wie Marc Augé, Sophie Wahnich und Geoffroy de Lagasnerie übertragen. Für die ViceVersa-Werkstatt versucht er sich zum ersten Mal an einem Roman: Planète sans visa von Jean Malaquais (1908-1998).

Lilian Pithan, vit à Berlin, traduit Pereira prétend, de Pierre-Henry Gomont, d’après le roman de Antonio Tabucchi (Éditions Sarbacane, 2016)

Après des études de lettres modernes et de littérature comparée à Tübingen et Paris, Lilian Pithan se lance dans le journalisme culturel en 2010. Elle vit en Inde et Australie avant de s’installer à Berlin où elle se consacre à la traduction depuis 2015. Elle se penche notamment sur la poésie anglophone et arabe, suivant le principe du VERSschmuggel/réversible, et sur le théâtre contemporain du Maghreb. Ses traductions de poésie ont paru aux éditions Ullstein, Sujet et Kerber. En 2017, elle co-fonde le magazine germano-arabe « FANN » qui donne naissance au festival berlinois « Journées de littérature arabo-allemande ». Amatrice de neuvième art, elle publie sa première traduction de bande dessinée en 2020 (Jørn Riel, Gwen de Bonneval & Hervé Tanquerelle, Grönland Odyssee, avant-verlag).

Elle traduit actuellement la bande dessinée Pereira prétend de Pierre-Henry Gomont (Sarbacane, 2016), inspirée du roman du même nom d’Antonio Tabucchi.
Sven Wachowiak, vit à Strasbourg, traduit Battling le ténébreux ou la mer périlleuse, d'Alexandre Vialatte (Gallimard, 1982)

Né à Langenhagen en 1988, Sven Wachowiak passe son enfance dans une petite ville à quelque 40 km d’Hanovre. Après ses études secondaires, il acquiert une Licence en Lettres Modernes (Strasbourg) et un Master en Relations Internationales (Lyon). L’année 2014 marque le début de son parcours de traducteur, avec notamment sa participation au programme Georges-Arthur Goldschmidt pour jeunes traducteurs. Il est marié et père d’un fils en bas âge dont il s’occupe à plein temps en attendant de trouver une place en crèche.

Il participe à l’atelier avec un extrait du roman Battling le ténébreux d’Alexandre Vialatte (1901 – 1979). Publié en 1928 chez Gallimard, ce mince ouvrage protéiforme évoque avec nostalgie les fastes de l’adolescence d’un trio de lycéens auvergnats au milieu des années 1920.

Nos partenaires

Du lundi 12 au vendredi 16 octobre 2020

Durée du stage : 5 jours (arrivée le 11, départ le 17)

Lieu : Collège international des traducteurs littéraires – Espace Van Gogh – 13200 Arles (France)

// Les traductrices coordinatrices //

Claudia Kalscheuer

Née en 1964 à Berlin. Sage-femme dans une première vie, elle a fait des études de philologie romane, de linguistique et de philosophie à Berlin et Toulouse. Traductrice littéraire depuis 25 ans, elle a traduit en allemand des auteur.e.s français.e.s et francophones tels que : H. Bauchau, A. Benmalek, J. Cocteau, M. Condé, L. Gaudé, A. von Humboldt, A. Laurain, I. Némirovsky, M. NDiaye, V. Ovaldé, S. Prudhomme, L. Salvayre, G. Simenon, S. Tesson, J. Verne, G. Wittkop…
Depuis 2003, elle anime des ateliers de traduction dans le cadre des programmes Goldschmidt et ViceVersa.
Prix André Gide 2002 pour Der Witwer von Venedig de Gabrielle Wittkop (Hanser Verlag). 2010 Internationaler Literaturpreis des Hauses der Kulturen der Welt avec Marie NDiaye pour Trois femmes puissantes / Drei starke Frauen (Suhrkamp).

Geboren 1964 in Berlin. In einem ersten Leben als Hebamme tätig, dann Studium der Romanistik, Linguistik und Philosophie in Berlin und Toulouse. Seit 25 Jahren Literaturübersetzerin von Werken u.a. von.: H. Bauchau, A. Benmalek, J. Cocteau, M. Condé, L. Gaudé, A. von Humboldt, A. Laurain, I. Némirovsky, M. NDiaye, V. Ovaldé, S. Prudhomme, L. Salvayre, G. Simenon, S. Tesson, J. Verne, G. Wittkop…
Seit 2003 Werkstattleitungen im Rahmen des Goldschmidt- und des ViceVersa-Programms.
2002 André-Gide-Preis für Der Witwer von Venedig von Gabrielle Wittkop (Hanser). 2010 Internationaler Literaturpreis des Hauses der Kulturen der Welt mit Marie NDiaye für Trois femmes puissantes / Drei starke Frauen (Suhrkamp).

Barbara Fontaine

Née en 1968 à Paris. Après des études de lettres modernes et de littérature allemande et une expérience dans l’enseignement et l’édition, elle se consacre pleinement à la traduction de littérature allemande dès 1999. Ayant une prédilection pour les romans contemporains (Ursula Krechel, Hans-Ulrich Treichel, Katja Lange-Müller, Thomas Hettche…), elle traduit également des sciences humaines et de la littérature jeunesse.
Elle a reçu le prix André-Gide en 2008 pour la traduction de Un pays invisible de Stephan Wackwitz et le prix Amphi en 2010 pour Près de Jedenew de Kevin Vennemann.
Depuis 2009, elle transmet son savoir-faire en animant des ateliers de traduction, dans le cadre du Programme Georges-
Arthur Goldschmidt d’abord, puis dans celui du programme ViceVersa.

Sie ist 1968 in Paris geboren und studierte dort Germanistik und Romanistik. Seit 1999 ist sie hauptberufliche Übersetzerin aus dem Deutschen. Ihr Schwerpunkt ist die Belletristik (mit zeitgenössischen Autoren wie Hans-Ulrich Treichel, Katja Lange-Müller, Ursula Krechel, Thomas Hettche u.a.), daneben übersetzt sie auch geisteswissenschaftliche Texte. 2008 wurde sie für ihre Übersetzung von Stefan Wackwitz’ Ein unsichtbares Land mit dem André-Gide-Preis und 2010 für ihre Übersetzung von Kevin Vennemanns Nahe Jedenew mit dem Prix Amphi ausgezeichnet.
Nachdem sie Übersetzungskurse an verschiedenen Universitäten (Straßburg, Angers, Paris-X, Brüssel) gegeben hat, leitet sie regelmässig seit 2011 Übersetzungswerkstätte im Rahmen des Goldschmidt-Programms und der ViceVersa-Werkstätte.

Contact ATLAS

Ameline Habib – responsable pédagogique des formations chez ATLAS

Email : ameline.habib@atlas-citl.org

Tél. : 04 90 52 05 50.

L’AFDAS gère le fonds de formation continue des auteurs de l’écrit et des arts dramatiques. Les traducteurs français qui sont éligibles à ce financement peuvent faire prendre en charge le montant des frais pédagogiques et, sous réserve d’un accord de l’AFDAS, leurs frais de voyage et d’hébergement.

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