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Un sbire qui trompait la mort

Mar 2, 2015 | Publié par CITL | Atelier de traduction franco-polonais, Journal de bord de la Fabrique, La Fabrique des traducteurs |

Krzysztof Umiński, le traducteur polonais de la BD Quai d’Orsay, nous raconte à quels dilemmes il a dû faire face pour traduire le pseudonyme d’un des personnages.

Quai-d-Orsay

Source © Quai d’Orsay : chroniques diplomatiques (L’intégrale), Lanzac & Blain. Paris : Dargaud, 2013. p.105

Tłumaczenie/Traduction:

Artur Vlaminck (przez telefon): No to już doleciałem. Gdzie jesteś? Za godzinę. Dobra. Zadzwoń, jak będziesz w lobby, to cię wprowadzę. Tak… Na razie…

Jean Pierre: Jak byłem w wojsku, pułkownik mówił na mnie Siepacz… Aha… Zauważył, że zawsze udaje mi się ściągać moje dziewczyny do miast, w których stacjonował garnizon. Porucznik, który trząsł portkami przed pułkownikiem i był strasznym wałem, uznał, że ta ksywa wzięła się od jakiegoś czynu bojowego. I się do mnie nie przypieprzał. Potem wszyscy zaczęli mnie wołać Siepacz… Jak sprawa wyszła na jaw, poszedłem na 53 dni do paki. Do dziś spotykam na ulicy starych kumpli, którzy mi mówią Siepacz.

Artur: Ha ha.  U mnie to co innego. Chodzi o moją narzeczoną… Dwa miesiące jej nie widziałem… Wyjechała studiować do Yale… To zupełnie inna historia.

Commentaire du traducteur :

Quai d’Orsay d’Abel Lanzac et Christophe Blain raconte les aventures d’Arthur Vlaminck, ancien doctorant, actuellement chargé d’écrire les discours du ministre des Affaires étrangères. Dans l’extrait cité ci-dessus, Arthur vient d’arriver à New York pour un conseil de l’ONU. A côté de lui est assis Jean-Pierre, directeur « Nations Unies » au Quai d’Orsay, un diplomate chevronné.

Ce qui m’a posé une colle dans ce passage, c’est l’ancien pseudonyme de Jean-Pierre : Trompe-la-Mort. Selon la définition du Petit Robert : « Personne qui échappe à la mort, que la mort semble ne pouvoir atteindre ». Je pense que le mot contient aussi l’idée de bravoure et de chance.

Trompe-la-Mort est d’ailleurs un des pseudonymes de Vautrin chez Balzac. Tadeusz Żeleński (Boy), l’a traduit par Ołży-Śmierć. Une belle traduction mais elle sent trop le XIXe siècle ; cela ne marche pas pour un appelé des années 1960.

Alors comment traduire ce pseudonyme ? Il faut qu’il soit court et efficace : on ne va pas appeler quelqu’un par un surnom qui compte cinq syllabes. Puis il doit évoquer l’audace ou la vaillance. Sinon la phrase : « le  lieutenant… était persuadé qu’il m’appelait comme ça à cause d’un fait d’arme »  perdrait tout son sens. Enfin, il faut que ça fasse rire. Que le lecteur sourie en lisant la cinquième case, qu’il éclate de rire à la sixième.

Voici mes premières idées : Chwacki, Dziarski, Śmiały, Śmiałek, Junak (des mots à peu près synonymes voulant dire « gaillard », « crâne », « téméraire », « hardi », « risque-tout », « casse-cou »). Cependant ces mots pourraient être des pseudonymes de résistants polonais du temps de l’occupation. Puis une collègue m’a proposé Kozak (« Cosaque ») – qui dans le polonais familier veut dire aussi « gaillard ». Mais ce mot me paraissait trop Europe de l’Est, trop éloigné du contexte français. Ensuite j’ai pensé à Kamikaze. Le deuxième sens de ce mot en français, est en effet « personne d’une grande témérité ». Cependant l’irruption d’un terme issu de la culture japonaise dans une traduction du français vers le polonais risquerait de créer la confusion.

Puis, une nuit, le mot siepacz m’est apparu dans un rêve. Siepacz : un sbire, un homme de main, un tueur, un tortionnaire. Et le verbe siepać veut dire : « frapper », « cingler », « fouetter ». Il n’y a pas vraiment de notion de courage dans ce mot, mais il y a une idée claire de violence, de lutte, de meurtre. Et un fort sous-entendu érotique aussi, puisque la langue polonaise attribue souvent, dans un contexte vulgaire, une connotation sexuelle aux verbes exprimant l’usage de la force : dziabnąć (donner des petits coups, piocher) ; rypać (cogner) ; rżnąć (scier, couper, tailler), kujnąć (percer), puknąć (frapper), młócić (battre le blé), stuknąć (frapper), walić, jebać (cogner). (C’est d’ailleurs presque toujours l’homme qui est l’agent : c’est lui qui perce, pioche, cogne et frappe,  pas la femme). Alors avec le mot Siepacz, le pseudonyme aurait un double sens : il désignerait soit un guerrier vaillant et cruel (l’interprétation du lieutenant), soit un homme porté sur les plaisirs sexuels, autrement dit : un baiseur (l’inteprétation du colonel).

J’étais content de Siepacz mais plus tard, en me rasant, j’ai eu une autre idée : Ścichapęk. Littéralément : « celui qui éclate en silence », donc (selon le Grand dictionnaire français-polonais) : « personne qui, sous une apparence de tranquillité, cache un caractère imprévisible ; eau qui dort ». Pas mal : ça marche dans le contexte, c’est un mot composé (comme Trompe-la-Mort) et c’est drôle, du moins je l’espère. J’ai opté pour Ścichapęk. Mais ensuite j’ai parlé de mes choix à deux personnes. Quand je leur ai proposé Ścichapęk, elles ont hoché la tête avec une moue approbatrice ; quand je leur ai sorti Siepacz elles ont éclaté de rire. Alors c’est le rire qui l’a emporté et j’ai choisi Siepacz. En tout cas pour l’instant.

Traduit par Krzysztof Umiński et Nathalie Le Marchand

Le traducteur :

Krzysztof-UmińskiKrzysztof Umiński (né en 1984) traduit de la littérature, des films et des bandes dessinées de l’anglais et du français vers le polonais. Inspiré par ses voyages en Inde, il a traduit des livres d’Arundhati Roy et Rohinton Mistry. En 2014, sa traduction de The Massacre at El Mozote de Mark Danner lui a valu d’être finaliste pour le Prix de reportage littéraire Ryszard Kapuscinski. En ce moment, il traduit Ô vous, frères humains d’Albert Cohen et Quai d’Orsay, la BD culte des diplomates français. Il vit à Varsovie.

 

 

 


 

Siepacz, który oszukał śmierć

Krzysztof Umiński, tłumacz komiksu Quai d’Orsay, opowiada o dylematach związanych z przekładem pewnego pseudonimu.

Wytłumaczenie:

Komiks Quai d’Orsay Abla Lanzaka i Christophe’a Blaina opowiada o perypetiach Artura Vlamincka, byłego doktoranta zajmującego się pisaniem przemówień dla francuskiego ministra spraw zagranicznych. W przytoczonym fragmencie Artur właśnie przybył do Nowego Jorku na szczyt ONZ. Obok niego w samochodzie siedzi Jean-Pierre, dyrektor ds. Narodów Zjednoczonych w MSZ, stary dyplomatyczny wyga.

W tej scenie najdłużej głowiłem się nad dawną ksywą Jean-Pierre’a – Trompe-la-Mort. Dosłownie: ‘ten, który oszukuje śmierć’. Czyli ktoś, kto wymyka się śmierci, w domyśle: osoba łącząca brawurę i fart.

Trompe-la-Mort jest skądinąd jednym z pseudonimów Vautrina, arcyłotra z Komedii ludzkiej. Boy w Ojcu Goriot przetłumaczył ten przydomek jako Ołży-Śmierć. Dobre, ale trąci XIX wiekiem. Nie nadaje się dla trepa z lat 60. zeszłego stulecia.

Więc jak to przełożyć? Ksywa powinna być poręczna i krótka: nie będę wołał kogoś przezwiskiem liczącym pięć sylab. Musi też budzić skojarzenia z odwagą lub walecznością. Inaczej zdanie: „porucznik (…) uznał, że ta ksywa wzięła się od jakiegoś czynu bojowego” będzie bezsensowne. I wreszcie – ma być komicznie. Tak, żeby czytelniczka uśmiechnęła się w okolicy piątego kadru, a przy szóstym wybuchła śmiechem.

Pierwsze pomysły – Chwacki, Dziarski, Śmiały, Śmiałek, Junak – brzmiały nieco staroświecko, jak pseudonimy żołnierzy AK. Koleżanka zaproponowała Kozaka, ale to mi się wydało nadto wschodnie, zbyt odległe od Francji. Potem wymyśliłem Kamikaze. Jest w tym słowie straceńcza odwaga. Ale wplatanie do przekładu z francuskiego na polski trzeciej kultury (japońskiej) wprowadzałoby chyba nadmierną zawiłość.

Wreszcie pewnej nocy przyśnił mi się Siepacz. Siepacz nie nawiązuje wprost do odwagi; odwołuje się jednak do walki, przemocy, zadawania śmierci. A przede wszystkim – zawiera czytelny podtekst seksualny. Polszczyzna chętnie przypisuje znaczenia erotyczne czasownikom związanym z użyciem siły: „dziabnąć”, „rypać”, „rżnąć”, „kujnąć”, „puknąć”, „młócić”, „stuknąć”, „walić”, „jebać” (co znamienne, podmiotem tych działań niemal zawsze jest mężczyzna). Ksywa Siepacz miałaby więc tutaj podwójny sens: oznaczałaby bezwzględnego wojaka (interpretacja porucznika) lub mężczyznę prowadzącego bujne życie erotyczne (interpretacja pułkownika), innymi słowy (ujmując rzecz potocznie i dosadnie): jebakę i ruchaj-beja.

Byłem zadowolony z Siepacza, ale przy goleniu wpadłem na jeszcze jeden pomysł: Ścichapęk. Też pasuje do kontekstu, podobnie jak Tromp-la-Mort jest złożeniem, i – co ważne – chyba śmieszy. Niech będzie Ścichapęk. Potem jednak opowiedziałem o swoich dylematach dwóm osobom. Zauważyłem, że przy Ścichapęku kiwają aprobująco głową, a przy Siepaczu się śmieją. Śmiech zwyciężył – wróciłem do Siepacza. Przynajmniej na razie.

O tłumaczu:

Krzysztof Umiński (ur. 1984) – tłumacz literatury francusko- i anglojęzycznej. Przełożył m.in. książki Arundhati Roy, Rohintona Mistry’ego i Marka Dannera. Finalista Nagrody im. Ryszarda Kapuścińskiego (2014). Publikował teksty o podróżach i literaturze, redagował powieści brukowe, był kucharzem na greckiej wyspie, zbieraczem lawendy w Prowansji i lektorem w wydawnictwie. Jako tłumacz słowa żywego asystował trzem laureatom Oscara.

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    mars 7, 2015 à11:56

    En somme, Ołży-Śmierć ne convient car trop XIXe – alors que trompe-la-mort l’est probablement tout autant.
    Ścichapęk ne convient pas non plus car pas assez hilarant – alors que trompe-la-mort n’est absolument pas hilarant intrinsèquement.on selection

    Du coup, on se retrouve avec Siepacz qui détourne complètement le sens (assassin, à connotation sexuelle ? notions sans rapport avec trompe-la-mort).
    Prendre un mot qui signifie tout autre chose, ce n’est pas plus de la traduction mais de la trahison.

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